Chroniques d'un Général

La pluie tombait finement sur le campement, le brouillard commençait à avaler les collines environnantes, les mercenaires s'affairer à préparer le repas monter des abris, enfuir des chausses trappes, préparer quelques renfoncement de pierres et de pieux. A l'intérieur d'une tente, était étendu sur un tas de pailles, un homme plonger dans le monde des rêves. Il était parfaitement serein et laissé vagué ses pensés vers les vertes collines de macédoines, seul les dieux savait à quel point la Grèce et AEgéa lui manquaient, plus que tout c'était la simplicité de son monde natal qui lui manquait, les intrigues politiques et les guerres incessante existait partout, mais les batailles se gagnait plus facilement, la valeur des hommes leur courage et leur habileté était nécessaire mais sur le sol la stratégie était une chose plus simple à organiser. Les doutes du vieux général revenait comme à ses débuts. Bien sur il avait eu deux vies entière d'expérience et même si il avait raccroché l'épée ses vingt dernières années, rattrapé par la vieillesse, son arrivé dans ce monde et la nécessite de s'en sortir l'avait conduits à reprendre les armes, embauché par la milice d'Akarios il avait vite était repéré par les officiers du Sanctum, et sa notoriété lui avait ainsi permis de rejoindre un groupe de mercenaires.

Il se réveilla quand la fraicheur de la brume vint s'insinuer dans sa tente. Son pourpoint de cuir était posé sur un présentoir rudimentaire. Il enfila son armure puis un jeune homme d'au plus seize printemps à la démarche peu sure et anarchique et à l'hygiène douteuse.
-Capitaine, un message pour vous - la nuit tombe et nous somme pret
-Quel est le message?
-Je ne sait pas, je ne sait pas lire.
-Parents paysans n'est-ce pas?
-Oui messire, les écoles n'existe pas pour nous autres.
-Très bien donne le moi et dit aux éclaireurs de se rassemblé sur la colline est. Il attaquerons quand le drapeau rouge sera levé
-Bien, je fait passé le message

Le mercenaire sorti de la tente et le capitaine lut la missive. L'ennemie était deux fois plus nombreux, mais quel importance cela fait-il? Ces voyous n'était pas organisés et pensait que les mercenaires serait de la même trempe qu'eux, mais c'était sans compté sur leur capitaine, Parménion était dans son pays d'origine surnommé le strategos depuis ses débuts à sparte et tous le connaissait sous le titre de la "mort des nations". Général était son metier et tout soldats étaient utile peu importe la formation militaire reçu.
Ils ne savent pas dans quoi ils s'engagent, ils seront prit au piège dans un défilé quand les arbres tomberont et seront décimé par l'arrière par ses archers dissimulé sur la colline. les fantassins feront le reste en pressant les rangs à l'entrée du défilé. La bataille sera terminé avant d'atteindre le lieu du combats prévu par les lépharistes.
Le Strategos pourra ainsi laisser ces mercenaires et s'engager dans un détachement du Sanctum.

Il enfila son casque et saisi épées dagues et boucliers, sortit de sa tente et rassembla ses hommes, ils était tous là en rangs attendant anxieux et impatient les ordres du capitaine. Quarantes six contre cent, et pourtant il gagnerai cette bataille. Qui pourrai le prédire, il sourit.
Sa nouvelle carrière ne fessait que commencer et tous connaitrons bientôt son nom.